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Samusocial

Michel Claise rend hommage aux équipes mobiles du Samusocial dans son dernier roman « Sans destination finale »

17/12/2019

Dans son nouveau roman, « Sans Destination Finale », paru aux éditions « Genèse », le magistrat-écrivain rend largement hommage aux équipes mobiles d’aide du #Samusocial, dénommées « la maraude » tout au long de son récit.

En basant son récit sur la descente aux enfers d’une personne à qui la vie souriait et qui ne peut se remettre d’un profond choc émotionnel, Michel Claise démontre avec brio que cette situation peut toucher tout un chacun. Le choix de parler du sans-abrisme au féminin, avec toutes les difficultés supplémentaires que cela suppose, confère une grande sensibilité à son propos.
Tout au long du récit, la maraude du Samusocial est largement mise à l’honneur, ainsi que les équipes sociales en général, dans les centres. En deux ans de vie en rue, Monica recevra très régulièrement la visite des équipes mobiles, sur ses différents lieux de vie. Si l’auteur parle souvent de l’aide immédiate apportée en rue, il axe fortement son propos sur le travail de construction d’un lien de confiance entre les maraudeurs et les personnes sans abri.

Sandrine, une amie sans abri de Monica, tente de la convaincre d’aller en centre : « Si tu n’as pas de famille, adresse-toi au Samusocial. Ils peuvent te sortir de la rue, uniquement si tu le souhaites. Mais ne reste pas ici. C’est un enfer dans lequel tu viens de pénétrer ». On s’attache au personnage toujours suivi par les équipes mobiles dont Michel Claise souligne la permanente bienveillance, tout particulièrement lorsqu’elles accompagnent Monica aux urgences hospitalières.

Elle se laissera convaincre de venir de temps à autre en centre d’accueil : la maraude aura réussi à tisser un lien de confiance, la rassurant sur l’anonymat de l’accueil. « La maraude s’était aperçue qu’elle était en pleine dérive et l’un des assistants sociaux parvint à la convaincre de passer un ou deux jours au refuge, pour se décrasser et se nourrir. » Mais Monica continue de craindre que sa famille ne la retrouve si elle vient régulièrement dormir en centre.  Elle ne s’y rend que lorsque c’est impérativement nécessaire : « l’état de manque ravivait son instinct de survie et c’était ce qui l’avait poussée, en désespoir de cause, à faire appel une fois de plus au Samusocial ».

Un jour, une lettre de sa tante l’attend au « Centre du Petit Rempart ». Personne ne l’oblige à la contacter. Elle ira pourtant la trouver…Ce qui la mènera dans un incroyable embroglio policier !
La chute ? Foncez chez votre libraire !

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